L’achat programmatique (ou ‘programmatic buying’ en anglais) est une forme d’achat publicitaire dans le cadre de laquelle une communication publicitaire est vendue de manière ciblée via un système automatisé.

L’achat programmatique fonctionne avec des profils d’utilisateurs

 qui permettent d’identifier en quoi le visiteur d’un site Web, par exemple, est intéressé. Les espaces publicitaires disponibles sont vendus en temps réel à l’enchérisseur ayant la valeur la plus élevée. Il ne doit pas nécessairement s’agir de l’enchérisseur dont l’offre est la plus élevée. L’espace peut par exemple aussi être cédé à l’enchérisseur qui obtient le plus de clics sur son annonce, où à celui dont la communication correspond le mieux au contenu du site.

 est sa flexibilité. Ainsi, à son entame vous pouvez déployer une campagne de manière large et voir, tout au long de sa durée, ce qui fonctionne bien ou non. Vous pouvez aussi vérifier si certaines dates ou régions répondent mieux aux exigences, voire si certains segments de cibles affichent de meilleurs résultats. Sur la base d’une telle évaluation, vous pouvez alors affiner les objectifs de campagne et, dans la foulée, ne payer que pour les publicités les plus efficaces. La différence est grande avec le mode d’achat traditionnel, où l’on paye à l’avance pour la diffusion d’un nombre prédéterminé de publicités sur un média ou un canal donné.

L’achat programmatique connaît quatre modes d’achat :

Preferred Deal : pas de modèle d’enchères, des tarifs CPM fixes, pas d’emplacements garantis

Programmatic Guaranteed : pas de modèles d’enchères, des tarifs CPM fixes, espace garanti

Private Exchange: mis en place par un ou plusieurs éditeurs qui peuvent contrôler les tarifs CPM les plus bas, Real Time Bidding (RTB, ou enchères en temps réel), uniquement pour une sélection d’annonceurs (sur invitation)

Open Exchange: Real Time Bidding (RTB), tarifs CPM variables, ouvert à tous les annonceurs

Achat Programmatique

Une plateforme technologique facilitant l’achat et la vente d’espaces publicitaires (en ligne).


Comme pour une place boursière, les tarifs pour les espaces vendus sont basés sur des enchères, même si dans le cas des ad exchanges (ou places de marché automatisées permettant l’achat et la vente d’espaces publicitaires), d’autres valeurs sont également prises en compte pour trouver le meilleur annonceur pour l’espace publicitaire disponible. Il ne doit pas toujours s’agir du plus offrant.

Les SSP (à partir des éditeurs/fournisseurs) et DSP (à partir des annonceurs/acheteurs) sont connectées à un ou plusieurs ad exchanges et fournissent une interface dans laquelle vous pouvez ranger vos activités sur l’ad exchange.

Ad exchange

L’achat programmatique de spots TV à un niveau de cible très détaillé.

 se sert d’une technologie d’achat programmatique et d’une segmentation de cibles avancée pour acheter des spots spécifiques en temps réel au niveau du ménage. Différents ménages peuvent ainsi se voir présenter différentes publicités tout en regardant le même programme. Avant, les campagnes TV étaient achetées au niveau du programme ou de la cible. Par le biais de la TV adressable, il est possible, via le RTB (‘real-time bidding’ ou enchères en temps réel) et les profils orientés données, d’acheter des espaces publicitaires de façon ciblée par ménage.

est qu’il se voit présenter des publicités pertinentes. Ainsi, telle personne pourrait être amenée à voir des publicités pour un week-end de golf au Portugal si son profil révèle qu’elle adore ce sport.

, l’avantage réside dans le fait qu’avec la TV adressable, il est en mesure de cibler son public de façon encore plus spécifique et donc d’encore mieux adapter le message au destinataire. Du coup, la TV pourrait être exploitée d’un façon tout aussi flexible et ciblée que les canaux numériques.

Addressable TV

Une approche marketing tactique qui fait que les équipes de marketing collaborent étroitement en vue d’élaborer, clôturer, évaluer et, éventuellement, encore adapter des projets en peu de temps.

Les équipes de marketing dit agile adoptent une attitude flexible afin d’être en mesure, dès qu’elles élaborent un projet et pendant qu’elles travaillent dessus, de rebondir rapidement sur les circonstances évolutives.

Le processus du marketing agile compte 4 phases.

 Le sprint planning, le sprint, l’évaluation de la solution et l’évaluation du processus de travail.

, le problème à résoudre est identifié et une solution est imaginée. Pendant le 

, les marketeurs collaborent intensément pour fournir la solution en une période restreinte de 2 à 6 semaines. Lors de l’

, on étudie si la solution fonctionne et si l’on poursuit avec elle. Dans ce cas, de petites améliorations y sont apportées au fur et à mesure (itérations successives). Finalement, il reste à 

. Comment s’est déroulé le processus ? Qu’est-ce qui a fonctionné et que peut-on améliorer ?

Dans le marketing agile, il n’y a pas de problème si une solution fournie ne s’avère pas être un succès. Tant qu’on peut en apprendre quelque chose, l’expérience peut être mise à profit pour mettre sur pied des projets plus performants à l’avenir.

Un élément important du marketing agile sont les ‘

’ : de brèves réunions d’équipe quotidiennes, qui ne dépassent pas le quart d’heure, durant lesquelles chaque membre de l’équipe résume ce qu’il a fait la veille, ce qu’il compte faire ce jour-là et les obstacles qu’il a éventuellement rencontrés. Les blocages sont immédiatement discutés et pris à bras-le-corps par l’équipe.

Afin de bien pouvoir suivre la progression, on se sert d’un 

. Toutes les étapes dans le processus et l’avancement général du projet y sont clairement visibles pour l’équipe.

Le travail d’équipe et la flexibilité 

sont essentiels dans le marketing agile. Personne n’est l’unique responsable final. C’est la combinaison qui détermine la performance. En outre, on attache une grande importance à la simplicité et au design judicieux.

L’approche du marketing agile cadre dans une époque où les changements vont si vite qu’une collaboration et flexibilité optimales sont requises des équipes pour faire face à ces changements et rester compétitif.

Agile marketing

Une API permet un accès limité aux fonctionnalités ou données d’une application ou d’un service (en ligne) afin de les intégrer dans une autre application ou service. L’API de Google Maps, par exemple, permet d’intégrer des cartes dans votre propre site Web ou appli. Grâce à la possibilité d’intégrer des services existants, vous ne devez plus réinventer la roue quand ce n’est pas nécessaire. Vous pouvez étendre vos propres services en utilisant les API d’autres sociétés.


En termes techniques, une API renferme un ensemble de règles qui gère et structure la communication entre différentes applications ou sites Web. L’API indique le 

 on récupère les données. Lorsqu’on le fait via les règles de l’API, on obtient des données en retour ou on est en mesure de faire exécuter des actions que l’on peut utiliser dans ses propres applications ou sites Web. L’API jette ainsi un pont entre votre appli demandeuse de data et le fournisseur de la data. Les données sont alors généralement fournies aux formats XML ou JSON.


Beaucoup de grosses entreprises fournissent une API. Facebook, Google (e.a. pour Google Maps et YouTube), Dropbox et Buienradar sont des exemples d’entreprises qui mettent à disposition leur API. Lorsqu’il vous est possible de vous inscrire à un service via Facebook ou de partager un site Web sans devoir le quitter, c’est l’API Facebook qui vous le permet. Pour Facebook, c’est un plus, car vous utilisez leur service sans qu’ils ne doivent divulguer leur code.

Il existe différents types d’API : les 

 sont exclusivement à usage interne. Les 

 sont uniquement mises à disposition d’entreprises après concertation. Du coup, on parvient à maintenir un degré de contrôle de qualité. Les 

 sont mises à disposition publiquement. Chacun est libre de les utiliser.


Vous souhaitez développer une appli météo et, dans la foulée, exploiter la data de Buienradar. Vous pouvez le faire en utilisant ou non une API.


, votre appli chargerait le site Web de Buienradar et lirait le code en l’interprétant, comme le ferait un humain, et en extrayant la data pour votre appli. Cependant, quand Buienradar modifie le design de son site Web, le code que lit votre appli change aussi. Du coup, cette dernière ne saurait plus ce qu’elle voit parce qu’elle est paramétrée pour interpréter un code qui n’est plus présent. Peu pratique...


, vous envoyez un message à l’API Buienradar comprenant une demande structurée d’information. Lorsque ce message et la demande correspondent aux définitions et exigences de l’API, l’API renvoie la data et vous pouvez l’utiliser dans votre appli. Cette méthode est plus robuste, parce qu’elle n’est pas tributaire de la façon dont Buienradar présente sa data, mais qu’elle dépend des règles définies dans la propre API. Ces règles ne sont pas modifiées à la légère, car beaucoup d’applications en dépendent.

Le monde change d’analogue en digital et il est de plus en plus important pour les entreprises de pouvoir rebondir rapidement sur les évolutions. Grâce aux API, il est possible d’échanger des fonctionnalités et des données de façon structurée, et donc stable. Du coup, les entreprises peuvent continuer à se focaliser sur leurs compétences clés et combiner celles-ci avec des services via des API.

Un modèle économique pour la fourniture de contenu over-the-top (OTT) :

Advertising video on demand (AVOD) est un type de service où les utilisateurs n'ont pas besoin de payer directement pour accéder au contenu vidéo. Les coûts de ce service sont couverts par les annonceurs, qui paient pour la diffusion de leurs publicités aux spectateurs. Les utilisateurs "paient" en quelque sorte en prêtant attention aux publicités.

 : YouTube offre du contenu gratuit et couvre ses frais d'hébergement et autres dépenses grâce aux revenus générés par les publicités diffusées aux spectateurs.

AVOD (Advertising video on demand)

Une blockchain est en principe une liste chronologique de fichiers de données à laquelle on ne fait qu’ajouter. La technique a été rendue populaire par Bitcoin, une blockchain étant utilisé pour l’administration des transactions Bitcoin. Ce faisant, un bloc est ajouté toutes les 10 minutes en moyenne comprenant quelques milliers de transactions et une référence au bloc précédent. Ainsi naît une chaîne de blocs, soit une blockchain.

Bitcoin est un système financier décentralisé, ce qui signifie que l’administration est prise en charge et contrôlée par un large groupe de participants, dans lequel personne n’est le patron. C’est l’essence même de cette innovation : qu’ensemble, un large groupe d’inconnus parviennent à un consensus sur l’administration du système.

Dans ce contexte, une blockchain est indispensable parce qu’elle apporte un ordre. Un grand groupe d’inconnus n’a en effet pas de notion commune du temps. Comme chaque bloc est lié au précédent, on voit naître un ordre chronologique. Le revers de la médaille est qu’en dehors du système décentralisé, une blockchain n’a pas de valeur ajoutée. C’est alors surtout une façon inefficace de stocker des données.

Un des problèmes est de savoir comment déterminer qui peut ajouter le prochain bloc à la blockchain. Idéalement, il s’agit à chaque fois d’un autre participant au hasard. Le problème se résout par un mécanisme de consensus, soit la façon dont un consensus est trouvé. Une des propriétés d’un mécanisme de consensus robuste est que les participants ne peuvent pas se faire passer pour plusieurs personnes et ainsi émettre plusieurs votes lorsque l’administration est déterminée.

Le mécanisme de Bitcoin s’appelle ‘Proof of Work’. Celui-ci fait que les participants (‘miners’) obtiennent un droit de vote proportionnel à la puissance de calcul qu’ils apportent. Comme la puissance de calcul coûte de l’énergie, personne ne peut falsifier son influence. Il existe d’autres mécanismes de consensus, tel que le ‘Proof of Stake’. Là, les participants (‘validators’) se voient offrir un droit de vote proportionnel au montant qu’ils bloquent. Dans un système publique décentralisé comme Bitcoin ou Ethereum , tout le monde peut devenir participant au réseau, conserver une copie complète de la blockchain et vérifier en personne si toutes les règles sont scrupuleusement respectées. Il n’est pas nécessaire, pour cela, de placer sa confiance en un pouvoir public, une banque ou une entreprise technologique.

Blockchain

permettent aux téléspectateurs de regarder des programmes télévisés déjà diffusés gratuitement et à la demande, souvent avec le soutien de la publicité. En rendant le contenu localement produit accessible à tout moment, BVOD sert de pont entre la télévision linéaire traditionnelle et les habitudes de visionnage modernes et flexibles d'aujourd'hui. 

Sur un marché de plus en plus dominé par les services de streaming internationaux tels que Netflix et Disney+, BVOD offre aux diffuseurs un avantage concurrentiel essentiel.

BVOD (Broadcast Video on Demand)

Modèle tarifaire pour la publicité (en ligne) : coût pour 1.000 affichages/ impressions.

Parle-t-on d’affichages ou d’impressions ?


Un affichage devient une impression lorsqu’il est vraiment vu par un humain (et non par un bot). La directive internationale de l’IAB prescrit que pour pouvoir parler d’une telle impression ‘viewable’ (ou visualisable), 50 % d’une annonce display ou d’un banner normaux doivent être restés visibles pendant au moins 1 seconde. Pour les grands formats publicitaires, 30 % suffisent. Une vidéo, quant à elle, doit non seulement apparaître à l’écran à au moins 50 %, mais aussi pendant au moins 2 secondes.

Comment déployer ce modèle tarifaire de manière réaliste ?


Tous les fournisseurs ne se servent pas des mêmes méthodes de mesure pour les impressions visualisables. En outre, beaucoup de publicités percutantes, comme les ‘road blocks’ ou les ‘ homepage takeovers’ se laissent difficilement mesurer avec les outils disponibles actuellement. Cela signifie donc aussi que les impressions non mesurées ne sont par définition pas non plus visibles.
Compte tenu des limites techniques pour qui veut tout mesurer de manière pure, le modèle tarifaire sur base de 100 % d’impressions visualisables n’est donc pas réaliste. Mais alors, qu’est-ce qui l’est ?

En 2015, l’IAB a formulé la directive suivante à ce sujet :

la facturation doit se baser sur le nombre d’impressions affichées durant la campagne, celles-ci devant être réparties en deux catégories : les impressions mesurées et non mesurées ;

compte tenu des limites technologiques actuelles et des différences dans la mesure des impressions, on pourrait maintenir un seuil de 70 % d’impressions visualisables.

Mettons qu’une campagne génère 10 millions d’impressions affichées. De ces impressions, on en a mesuré 8 millions. De ces impressions mesurées, 5 millions étaient visualisables. Cela fait 62,5 % d’affichages visibles. Dans ce cas, l’éditeur devrait encore livrer 600.000 impressions visualisables pour atteindre le seuil des 70 %. Le client peut alors être facturé pour la totalité des 10 millions d’impressions.

Á l’origine, ‘crypto’ est une abréviation de crypto-monnaie, les unités monétaires de systèmes décentralisés comme Bitcoin et Ethereum. Dans ce contexte, crypto fait référence à la cryptographie utilisée pour le transfert d’une telle monnaie. En apposant une signature numérique, le propriétaire prouve que le bien numérique peut être transféré à un tiers. 

Aujourd’hui, crypto est un terme collectif informel désignant tous les crypto-actifs. Il s’agit de biens numériques qui ne sont pas gérés par un acteur central, tel qu’une entreprise technologique, une banque ou un pouvoir public, mais dont la propriété est notée dans une administration décentralisée et qui peuvent être transférés en pair-à-pair. En tant que tel, le terme crypto désigne une nouvelle catégorie d’investissement.

Autour de ces nouveaux actifs, de nouveaux marché financiers se sont développés, des milliers de sociétés de par le monde formant un secteur animé. Le mot ‘crypto’ est également utilisé pour désigner cette activité dans son ensemble. Ainsi, il y a des gens qui sont actifs ‘dans la crypto’ et, aux quatre coins du monde, des gouvernements planchent sur l’élaboration de législations crypto s’appliquant à l’industrie tout entière.

Il est important de réaliser que la crypto en tant que catégorie d’investissement comprend une grande variété d’actifs. Tout a commencé par la bitcoin en tant que monnaie numérique indépendante. Ensuite sont apparus de nouveaux actifs, qui tentent d’appliquer à d’autres biens numériques ce que fait Bitcoin pour l’argent. Pensez aux données d’identité, à des billets d’accès, à l’art. Ou encore, à la preuve de la possession d’un prêt, ou du fait que vous faites partie d’une organisation décentralisée.

On commet souvent l’erreur d’assimiler la crypto à un actif ou une application spécifique au sein de la catégorie. On crée alors l’impression qu’il est question d’une homogénéité absolue, alors que l’inverse est vrai. Ainsi, bitcoin, en tant que première monnaie et monnaie la plus décentralisée, ne peut être comparée avec les propriétés d’un objet d’art numérique ou une ‘stablecoin’ émise par une partie centrale.

Crypto

La 'customer journey', soit littéralement ‘le périple du client’, dresse la carte de toutes les étapes que traverse un client (potentiel)lors de ses interactions avec une marque, un produit ou un service. Elle débute au moment où le client se rend compte de l’existence d’une marque ou d’un produit et s’étend jusqu’à la décision d’achat finale et aux réachats éventuels.

Les étapes suivantes font partie intégrante de la customerjourney :

1: 

 :le client prend conscience de l’existence d’une marque ou d’un produit particuliers.

2: 

 :le client étudie et compare les options afin de prendre une décision réfléchie.

3: 

 :le contact avec le client ne s’arrête pas à l’achat ; la marque vise à conserver ses clients existants et stimule les réachats, par exemple en offrant un bon service client, un support après-vente ou une possibilité de feedback. 

6: 

 :le client se met à utiliser le produit ou service.

7: 

 :après l’avoir utilisé, le client évalue en quelle mesure le produit ou service répond à ses attentes.

8: 

 :s’il est satisfait, le client peut procéder à des réachats et, dans le meilleur des cas, à du bouche-à-oreille positif.

Lacustomerjourneys’appuie sur le modèle AIDA classique (Attention, Intérêt, Désir, Action, soit Connaissance, Attitude et Comportement). La première étape, celle de l’Attention ou de la prise de conscience, se rapporte à la ‘connaissance’. Les étapes suivantes vers l’achat concernent ‘l’attitude’ (Intérêt, Désir). Si le client procède à un achat et effectue des réachats après l’utilisation, cela tombe sous ‘comportement’ (Action). Lacustomerjourneytient compte de chacune de ces phases, de la prise de conscience à la décision d’achat et d’éventuels réachats.

Les annonceurs et les médiaplanners se servent de campagnes média et autres types de communication ciblés pour rebondir efficacement sur les différentes phases de la customerjourney. En alignant leurs stratégies de marketing et de communication sur les besoins et les comportements des clients dans chaque étape de la customerjourney, ils sont à même d’augmenter l’engagement et l’interaction de leur cible, ainsi que les chances de conversion et de renforcement de la fidélité à la marque.

Customer Journey

Une Plateforme de Gestion de Données (DMP) est un système technologique qui collecte, organise, stocke et analyse de grandes quantités de données. Le principal objectif d'une DMP est de créer et de maintenir des profils clients détaillés, afin que les entreprises puissent améliorer leurs efforts de marketing et de publicité.

Le fonctionnement d'une DMP se déroule comme suit :

 : Une DMP collecte des données provenant de diverses sources, telles que des données démographiques, comportementales et transactionnelles.

 : Les données collectées sont organisées en segments exploitables en fonction de différents paramètres, tels que le comportement, les intérêts, les données démographiques, etc.

: La DMP analyse les données organisées et fournit aux marketeurs des informations et des tendances précieuses. Cela aide les marketeurs à mieux comprendre leurs clients, notamment leurs besoins, leurs intérêts et leurs préférences de produits.

 : Sur la base de l'analyse, les entreprises peuvent créer des campagnes publicitaires ciblées pour atteindre des segments de clients spécifiques. Cela améliore l'efficacité des efforts de marketing et maximise le retour sur investissement (ROI).

 : La DMP assure la gestion et la maintenance des données. Cela inclut des mises à jour régulières, la suppression des données obsolètes ou non pertinentes, et la garantie de la sécurité et de la confidentialité des données.

Lors de la collecte et de l'utilisation des données, les Plateformes de Gestion de Données (DMP) doivent se conformer aux lois sur la confidentialité. Les entreprises qui utilisent une DMP doivent également respecter ces règles et règlements. Elles sont responsables du traitement des données et doivent s'assurer que les données sont utilisées conformément aux principes et exigences du RGPD.

DMP (data-management platform)

 pour enchérir sur des espaces publicitaires dans les différentes bourses d'annonces (ad exchanges). Au sein de la plateforme logicielle, des valeurs peuvent être définies pour optimiser l'achat de publicité.

sont AppNexus, Google DoubleClick Bid Manager et Adobe Media Optimizer.

DSP (demand-side platform)

La couverture média pour laquelle vous ne payez pas, mais que vous méritez grâce au bouche-à-oreille ou parce que d’autres partagent des contenus à vous sur les médias sociaux. Ici, les consommateurs sont en fait eux-mêmes le canal média.

 réside dans le fait qu’il est très crédible. Pour beaucoup de consommateurs, il joue un rôle important dans leurs achats.

 sont un clip amusant ou un blog intéressant qui deviennent viraux ou un feedback positif après une expérience agréable du service clientèle. L’earned media peut découler d’une exploitation intelligente du paid et du owned media.

 est le fait qu’on ne le contrôle pas directement et qu’il peut aussi être négatif. Il est en outre non-évolutif et difficile à mesurer.

Earned media

Les first-party data sont des informations qu'une entreprise collecte directement auprès de ses clients. Cela peut se produire lorsque les personnes visitent le site web, utilisent l'application, effectuent un achat ou remplissent des enquêtes. Ces données peuvent inclure des informations telles que le nom et l'adresse, l'historique des achats, l'activité sur le site web ou les intérêts des clients. Ces informations aident l'entreprise à mieux comprendre ses clients et à les aborder de manière plus personnalisée.

Un exemple d'utilisation des first-party data dans les médias est la diffusion de publicités ciblées qui correspondent aux intérêts de l'audience. Cela permet de montrer des publicités plus pertinentes et d'améliorer l'expérience utilisateur.

Cependant, il est essentiel de se conformer à la législation sur la protection des données, telle que le RGPD, lors de la collecte et de l'utilisation des first-party data. Cette législation impose des règles plus strictes sur la collecte et l'utilisation des données. Par conséquent, les entreprises ont désormais une plus grande responsabilité de traiter les données des clients avec soin et de protéger la vie privée de leurs clients.

First-party data

 fait référence à un modèle de vidéo à la demande où le contenu est accessible gratuitement aux utilisateurs, sans publicités. Ce modèle est souvent utilisé pour attirer un large public, généralement dans le cadre d'activités promotionnelles ou en combinaison avec d'autres modèles de VOD tels que 

 parlant d'une plateforme FVOD. Elle permet aux téléspectateurs de regarder gratuitement et à la demande un large éventail de programmes télévisés, sans être interrompus par des publicités. Cela rend la plateforme attrayante pour les spectateurs à la recherche de contenu gratuit sans pauses commerciales. 

FVOD (Free Video on Demand)

La gamification consiste à utiliser des éléments de jeu pour impliquer davantage les gens dans votre produit, service ou marque en leur offrant une expérience divertissante. L'objectif est d'enthousiasmer les gens et d'augmenter leur engagement. En utilisant, par exemple, des points, des badges, des niveaux, des défis et des récompenses, la gamification motive les consommateurs à passer à l'action et à atteindre des objectifs. L'idée est que les gens se sentent ainsi plus impliqués et deviennent plus fidèles à votre marque ou produit.

Une utilisation judicieuse de la gamification apporte plus de plaisir et de motivation aux utilisateurs, ce qui peut potentiellement renforcer la fidélité à la marque. Cependant, un excès de gamification et l'encouragement de comportements nuisibles peuvent nuire à la réputation de la marque et même réduire la fidélité.

Une plateforme de santé utilise la gamification pour encourager les gens à faire de l'exercice régulièrement. Les utilisateurs gagnent des points et des récompenses lorsqu'ils participent à des séances d'entraînement, lorsqu'ils marchent ou lorsqu'ils font du vélo. Ces points peuvent être utilisés pour débloquer de nouvelles routines d'entraînement ou pour gagner des médailles virtuelles en reconnaissance de leurs performances.

Une application de médias sociaux utilise la gamification pour pousser les utilisateurs à rivaliser pour obtenir le plus grand nombre de followers. Cela peut entraîner une obsession malsaine pour la popularité et la création de contenus uniquement axés sur la sensation afin d'attirer plus de followers, au détriment de la qualité du contenu.

Pour utiliser la gamification avec succès, il est important d'écouter attentivement les souhaits des utilisateurs tout en gardant à l'esprit les objectifs, tels que la fidélité des clients ou l'interaction sociale.

Gamification 

Règlement européen sur la protection de la vie privée pour la collecte et le traitement de données personnelles, dans le but de mieux protéger les consommateurs. En Belgique, cette loi est appelée ‘règlement général sur la protection des données’ (RGPD).

Depuis le 25 mai 2018, tout un chacun dans l’Union européenne (UE) est tenu de respecter les règles de la General Data Protection Regulation (GDPR). Le RGPD veille à ce que les données personnelles ne puissent être collectées que dans des conditions strictes, et être exploitées exclusivement à des fins légitimes. De plus, toute organisation doit protéger les données personnelles collectées contre les abus et respecter les droits des personnes concernées.

Ce que doit faire votre société pour se rendre conforme au RGPD :

– indiquez quelles sont les données personnelles que vous collectez et traitez
– expliquez pourquoi vous collectez et traitez des informations personnelles
– précisez comment vous collectez les informations personnelles
– indiquez pendant combien de temps vous conservez les données personnelles

Veillez à ce que, dans la phase de conception des produits et services, l’on tienne déjà compte d’une solide protection des données personnelles, et empêchez que des informations supplémentaires puissent automatiquement être enregistrées sans autorisation.

Si vous traitez les données de plus de 5.000 personnes, nommez quelqu’un au poste de Data Protection Officer.

Veillez à pouvoir démontrer que les gens ont autorisé la collecte et le traitement de leurs données sur base d’informations complètes.

Veillez à pouvoir montrer les informations collectées à la personne en question.

obligation de déclaration des fuites de données

Veillez à ce que les données conservées soient correctement protégées contre les fuites de données.

Vous permet de transmettre les données collectées par votre organisation au sujet d’une personne par voie électronique de votre système à un autre.

Permet au citoyen de faire supprimer ses informations.

Nouveau par rapport aux règlements antérieurs sur la protection de la vie privée :


– pouvoir démontrer qu’il existe un consentement valide fourni par les personnes, qui permet de traiter les données personnelles
– faire en sorte qu’il est aussi facile pour les gens de retirer que de donner leur consentement

GDPR

Geofencing can be used to create a virtual perimeter for a geographic area or location. As soon as a person enters that particular area his/her mobile phone signal can be detected. Based on this a marketer can decide to show him/her a targeted ad or personal message. This gives marketers the option to show their ads or content exclusively to consumers who meet certain location requirements.

Geofencing

Le Gross Rating Point (GRP) est l’indicateur de pression publicitaire d’une campagne. 1 GRP = 1 % d’audience au sein d’un groupe cible donné, par exemple 1 % de part d’audience TV. Ensemble, les gross rating points fournissent une indication de la répartition entre l’audience totale de la cible et le nombre moyen de contacts ayant permis de toucher la cible.

Les GRP sont calculés en multipliant le pourcentage d’audience par la fréquence de contact moyenne (donc audience fois nombre de répétitions).

GRP = reach (%) x fréquence de contact moyenne

100 GRP = 100 % de la cible touchés 1 fois ou 1 % de la cible touché 100 fois ou toute autre combinaison possible (20 % x 5, 25 % x4, 4,5 %, 5 % x 20, etc.).

Voici comment calculer le nombre de GRP :


Vous faites appel à un média qui jouit d’une audience de 60 % et vous montrez votre annonce 4 fois. Nombre de GRP = 60 % x 4 = 240 GRP.

Voici comment estimer l’audience et le nombre de contacts de GRP :


Vous avez acheté 210 GRP à 175 euros le GRP ; votre coût total s’élève à 36.750 euros.
Quand vous répartissez la mise sur plusieurs canaux, vous obtenez une audience plus élevée avec une fréquence plus faible. Dans ce cas, la répartition se présente par exemple comme suit : 70 % d’audience x 3 contacts = 210 GRP. Ces mêmes 210 GRP peuvent cependant aussi être exploités dans une sélection de titres ou de canaux plus restreinte ; dans ce cas, l’audience totale diminue et la fréquence de contact augmente. La répartition est alors, par exemple, de 30 % d’audience x 7 contacts = 210 GRP.

Souvent, on procède à une estimation d’une des deux unités (% d’audience ou fréquence), tandis que l’autre est calculée.

Une forme créative de marketing où l’on s’évertue, en dehors des canaux traditionnels, de créer un buzz maximal à un coût le plus faible possible.

Voici quelques exemples de marketing de guérilla 

: les coups de pub (‘PR stunts’), les projections laser, l’affichage sauvage, la distribution de prospectus ou la création d’énoncés de type film statique, graffiti ou graffiti inversé.

Guerrilla marketing

 combine différents modèles de VOD, tels que le 

  (soutenu par la publicité), en une seule plateforme. Il offre aux utilisateurs le choix entre regarder du contenu gratuit avec des publicités ou payer pour du contenu premium sans publicités.

 illustre parfaitement ce modèle. Les utilisateurs peuvent choisir de s'abonner pour accéder à du contenu premium sans publicités, ou opter pour un accès gratuit au contenu avec publicités. Cette flexibilité rend le HVOD attrayant pour un large éventail d'utilisateurs.

HVOD (Hybrid Video on Demand)

Le marketing inbound est une forme de marketing où l’attention du consommateur est ‘méritée’. En offrant des contenus intéressants ou sympas, on amène un client (potentiel) à se familiariser avec sa marque, son produit ou son service.

Voici quelques exemples de marketing inbound 

: la fourniture de contenus à des consommateurs ayant souscrit à votre newsletter, ou après les avoir trouvés via Google Search. Pour Retriever, la présente rubrique Buzzwords est une forme de marketing inbound.

, citons le fait que c’est une façon conviviale de demander de l’attention pour sa marque ou son message. Il est aussi facile de tracer et d’analyser les résultats.

Inbound marketing

Le greenwashing fait référence à une pratique marketing où les entreprises se présentent comme respectueuses de l'environnement ou durables, alors qu'en réalité, elles ne font que peu ou pas d'efforts pour réduire leur impact néfaste sur l'environnement. C'est une forme de publicité trompeuse, visant à faire croire aux consommateurs que l'entreprise s'engage sérieusement en faveur de la durabilité, alors qu'en pratique, ce n'est pas le cas.

Une grande entreprise de cosmétiques lance une nouvelle ligne de produits de soin de la peau "naturels". Ils font de la publicité avec de belles images de fleurs, de plantes et d'ingrédients naturels. Les emballages sont conçus dans des tons terreux, et ils promettent que leurs produits sont respectueux de l'environnement et exempts de produits chimiques nocifs.

Cependant, en y regardant de plus près, des recherches révèlent que seuls quelques ingrédients utilisés sont réellement naturels, tandis que les autres contiennent encore des produits chimiques potentiellement nocifs. De plus, les emballages sont en plastique difficile à recycler.

L'entreprise de cosmétiques pratique donc le greenwashing car elle promeut sa ligne de produits comme "naturelle" et respectueuse de l'environnement, alors qu'en réalité, cela n'est pas entièrement vrai.

Le Greenwashing

Le metaverse, ou métavers, est un réseau d’espaces tridimensionnels interconnectés qui, ensemble, forment un écosystème indépendant de toute plateforme, comparable à notre monde physique. Des expériences numériques et physiques y sont mêlées. Du coup, le metaverse constitue pour les entreprises et les marques une source de possibilités d’interaction et d’échange d’expériences de marque inédites avec leurs cibles.

Le terme metaverse, ou metaversum, remonte à 1992, l’année où Neal Stephenson a publié son roman de science-fiction Snow Crash, dans lequel les gens sont en contact les uns avec les autres dans un espace tridimensionnel servant de métaphore pour le monde réel. Ce que Stephenson n’avait probablement pas prévu, c’est que trois décennies plus tard beaucoup de gens passeraient bien plus de temps devant leur écran qu’ailleurs. L’essor de l’Internet y est pour beaucoup. Cette toile mondiale peut être considérée comme un espace numérique dans lequel les gens se regroupent autour d’activités et d’intérêts communs.

Pour le moment, cet espace digital n’a toujours que peu de caractéristiques du monde réel dans lequel nous vivons. L’Internet est un espace largement bidimensionnel, centré sur des modèles et des actions propres à Internet. Il se pourrait que cela change avec l’émergence de ce que l’on entend aujourd’hui par le terme ‘metaverse’.

Pour aider à concrétiser le terme ‘metaverse’, on se réfère souvent à Second Life. Même si, selon la définition ci-dessus, ce jeu ne répond pas aux critères recherchés, cela illustre bel et bien à quoi l’on pense lorsqu’on pense au metaverse : un réseau social virtuel dans lequel les utilisateurs peuvent se profiler et communiquer en humains, mais aussi construire et faire des choses impossible dans la vie réelle.

Selon certains analystes, la naissance du metaverse va de pair avec l’émergence des cryptomonnaies. Ils voient les gens dans le metaverse participer à une économie virtuelle, dans laquelle de nouvelles formes d’argent et de propriété digitale jouent un rôle important. D’autres technologies émergentes peuvent également jouer un rôle dans la réalisation du metaverse, dont les identités numériques et l’intelligence artificielle.

Il est important de comprendre que le metaverse n’est pas encore terminé. Il s’agit d’une perspective d’avenir, et les initiatives autour de ce thème n’en sont qu’à leurs premiers balbutiements. Une grande partie de ce que l’on dit et écrit sur le sujet revêt un caractère spéculatif : il convient donc de considérer cela comme une école de pensée.

Cela ne signifie toutefois nullement que rien n’a encore été mis en branle. Il existe diverses plateformes qui ont ajouté des propriétés de type metaverse à leurs environnements virtuels. Pensez à Fortnite, où les gens peuvent voir un film ou s’offrir un concert ensemble. Ou encore, à Minecraft, où on se réunit pour façonner son environnement, Axie Infinity, où l’on expérimente avec de nouvelles formes de propriété numérique, ou au réseau de réalité virtuelle Horizon de Facebook, dans lequel les gens sont incités, avec leurs amis, à créer leur propre monde.

Les marques aussi expérimentent avec le metaverse. Pensez à Gucci, qui a créé un espace virtuel sur Roblox baptisé ‘la Gucci Garden Experience’. Certains des articles en question ont été revendus pour des milliers de dollars, à des prix comparables à ceux de vrais sacs Gucci. À l’autre bout du spectre, Heineken nous montre au moyen d’une campagne de lancement pour une bière virtuelle que, jusqu’à nouvel ordre, toutes les expériences dans le monde réel ne pourront être remplacées dans le metaverse.


Metaverse

Des annonces qui prennent l’apparence de contenus du média. Le lecteur n’a pas le sentiment d’avoir une publicité sous les yeux.

Des exemples clairs de publicité native 

sont les publireportages (ou ‘advertorials’) et le contenu de marque (ou ‘branded content’). Les publicités dans les moteurs de recherche ou sur les médias sociaux se classent également sous la dénomination de publicité native, parce qu’elles ne marquent pas de cassure dans l’esthétique du média.

Native advertising

De term "newsjacking" komt oorspronkelijk uit het Engels en is een samenvoeging van de woorden "news" (nieuws) en "hijack" (kapen of overnemen). Het werd bedacht door David Meerman Scott, een Amerikaanse marketingstrateeg en auteur, die in 2011 het boek schreef "Newsjacking: How to Inject your Ideas into a Breaking News Story and Generate Tons of Media Coverage".

Het idee achter newsjacking is dat bedrijven of merken snel reageren op actuele nieuwsgebeurtenissen door hun eigen marketingboodschap aan het nieuwsverhaal te koppelen. Ze proberen mee te liften op de aandacht die het nieuws krijgt, om zo meerexposure en aandacht voor hun eigen boodschap te krijgen.

Je moet er wel op lettendat je boodschap goed past bij het nieuws. Als je het niet goed doet, kunnen mensen negatief reageren en kan het schade toebrengen aan het imago van je bedrijf of merk. Daarom is een zorgvuldige aanpak van groot belang.

Newsjacking

Un ‘non-fungible token’ (NFT) ou jeton non-fongible est un titre de propriété numérique qui, à l’image de cryptomonnaies comme le bitcoin, peut être transféré à un tiers moyennant une preuve cryptographique. La différence est qu’un NFT est non-interchangeable et unique, parce que le jeton réfère à un objet unique, que ce dernier soit numérique ou physique.

Un euro se répartissant en cent cents, il est essentiel que ces cents soient interchangeables entre eux. Un cent vaut autant et est aussi utile que l’autre. Cette interchangeabilité est appelée ‘fungibility’ ou ‘fongibilité’. Il est utile pour l’argent d’être très interchangeable. Quelqu’un qui vous prête un billet de 10 euros, ne devra pas nécessairement recevoir un même billet en retour ; deux billets de cinq feront par exemple parfaitement l’affaire.

Pour l’argent, la ‘fongibilité’ est une propriété souhaitable, mais pour la plupart des autres affaires dans le monde elle ne l’est justement pas. Quand on emprunte un Picasso à un bon ami, il est inconcevable qu’on lui rende un tableau au hasard, doté d’environ les mêmes dimensions. Il devra s’agir de ce même Picasso bien précis, de préférence exactement dans le même état. La même chose vaut pour les voitures, les bouteilles de vin, les bijoux, les maisons ou les droits d’auteur d’un livre. Ils se situent tous du côté non-interchangeable du spectre.

Pour les affaires non-interchangeables, on a imaginé les ‘non fungible tokens’. Tout comme les autres actifs cryptographiques, un NFT est enregistré dans une administration décentralisée, et vous pouvez prouver sa possession en apposant une signature cryptographique. Pour ce faire, vous vous servez de clés cryptographiques présentes dans votre portefeuille.

La création d’un NFT est toute simple et à la base un NFT ne représente pas grand-chose : une empreinte digitale de l’objet, quelques autres informations descriptives et une signature. En soi, un NFT n’a donc rien d’exceptionnel ou de précieux. Il s’agit entièrement de ce que représente le NFT ou ce à quoi il réfère. Ce qui nous amène à la différence principale entre propriétés interchangeables (comme les bitcoins) et non-interchangeables (les NFT):

Un bitcoin a de la valeur parce que l’entièreté des bitcoins en a : le réseau, les services autour, l’utilité du système monétaire dans son entièreté pour les utilisateurs.


Un NFT a de la valeur indépendamment de tout autre NFT. Cela peut être le cas parce que c’est un objet de collection, comme une œuvre d’art (numérique), ou parce qu’il est utile, tel qu’un nom de domaine, ou parce que des flux de revenus futurs y sont associés, tel qu’un droit de propriété spécifique.


Un NFT est programmable. On pourrait par exemple déterminer qu’en cas de vente d’un NFT son auteur toucherait à chaque fois une partie des bénéfices. Si l’artiste vend une œuvre à mille euros et que le premier propriétaire la revend pour cent mille euros, les deux pourront profiter de l’augmentation de valeur.

Les applications les plus pratiques des NFT sont encore à venir. D’abord, il faut que des protocoles et des standards soient créés, et il faut encore développer toutes sortes de choses en termes de plateformes et d’applis.

Néanmoins, vous pouvez déjà expérimenter en achetant des objets de collection sur une place de marché NFT comme OpenSea. N’achetez toutefois pas l’image d’une pierre, d’un troll ou d’un singe sans recherche approfondie. Il se pourrait fort bien que dans 10 ans ça ne vaut plus un clou !

Beaucoup de marques se livrent aussi déjà à des projets NFT. Le RTFKT x Nike Hoodie, conçu pour la RA et dans lequel des mondes physiques et numériques sont fusionnés, en est un exemple.

Une façon de fournir du contenu télévisé sans qu’un abonnement TV ordinaire ne soit requis, soit de la télévision interactive sans câble.

: Netflix est un service OTT. HBO Now est un exemple d’un canal TV payant (HBO) proposant de l’OTT.

De plus en plus de sociétés média cherchent à se faire une place dans le paysage OTT. 

Ainsi, TMG a conclu un partenariat stratégique avec Talpa afin d’offrir des services OTT, à commencer par une chaîne de sport et d’information lancée en 2017. Fin octobre 2016, AT&T a repris la société de contenu Time Warner pour 80 milliards de dollars. Time Warner est entre autres la société derrière CNN, HBO et le producteur de cinéma Warner Bros. Des sociétés de vidéo en ligne comme YouTube, Vimeo et AOL tentent également de jouer un rôle dans le nouveau paysage OTT.

Le marketing outbound est une forme de marketing où l’énoncé publicitaire est projeté vers l’extérieur. Vous partez activement à la recherche de vos clients en les confrontant avec votre message.

 à des paid media comme la RTV, l’OOH, le print, la publicité en ligne et le SEO. Cela vous permet de réaliser une large audience. Comparé à l’approche personnelle du marketing inbound, le taux de conversion est relativement faible.

Les marketing outbound et inbound peuvent se renforcer mutuellement. 

Ainsi, le marketing outbound vous permet d’augmenter votre notoriété de marque générale et, dans la foulée, l’intérêt pour les activités de marketing inbound.

Outbound marketing

Les owned media sont vos propres canaux média.

, citons votre propre site Web, vos propres blogs ou vos propres canaux de médias sociaux.

 qu’il s’agit de canaux dont vous avez le contrôle absolu. Ce sont de bons canaux pour forger une relation à long terme avec les clients existants et potentiels.

L’earned et le paid media peuvent aiguiller des consommateurs vers vos canaux owned media.

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